Vélo à Shanghai
La belle affaire!
Au bout de deux mois à Shanghai, on abandonne toute vélléité de comprendre le plan des bus, on se rend compte que si on veut rester vivant il faut parfois savoir éviter le métro, et puis au bout d'un moment, le taxi çà coûte cher!
Alors plein d'espoirs, on s'achète un vélo plus ou moins détraqué, on s'imagine sillonner la ville, et...c'est là que les ennuis commencent.
Au bout de 15 mêtres, on se rend compte que la selle ne va pas tenir longtemps, au bout d'une semaine, première crevaison (changement de la roue), au bout de deux mois, deuxième crevaison, au bout de trois mois, le guidon de compet' se fait la malle (résultat, un bus évité de justesse, le portable qui va s'écraser sur la chaussée, l'impression qu'on va se taper une crise cardiaque, bref que du bonheur...)...
Ensuite, il faut savoir que Shanghai compte pas mal de rues interdites aux vélos donc l'itinéraire est souvent tortueux!
Mais bon, finalement, on devient la meilleure pote du réparateur de vélo du coin de la rue, qu'on hésite plus à aller réveiller à 11h du soir quand la bête à un soucis, on sait démonter et remonter intégralement une roue, on se passe les nerfs sur ses compères cyclistes lors de la "cohue du feu vert", bref, c'est Shanghai tout craché.
Au bout de deux mois à Shanghai, on abandonne toute vélléité de comprendre le plan des bus, on se rend compte que si on veut rester vivant il faut parfois savoir éviter le métro, et puis au bout d'un moment, le taxi çà coûte cher!
Alors plein d'espoirs, on s'achète un vélo plus ou moins détraqué, on s'imagine sillonner la ville, et...c'est là que les ennuis commencent.
Au bout de 15 mêtres, on se rend compte que la selle ne va pas tenir longtemps, au bout d'une semaine, première crevaison (changement de la roue), au bout de deux mois, deuxième crevaison, au bout de trois mois, le guidon de compet' se fait la malle (résultat, un bus évité de justesse, le portable qui va s'écraser sur la chaussée, l'impression qu'on va se taper une crise cardiaque, bref que du bonheur...)...
Ensuite, il faut savoir que Shanghai compte pas mal de rues interdites aux vélos donc l'itinéraire est souvent tortueux!
Mais bon, finalement, on devient la meilleure pote du réparateur de vélo du coin de la rue, qu'on hésite plus à aller réveiller à 11h du soir quand la bête à un soucis, on sait démonter et remonter intégralement une roue, on se passe les nerfs sur ses compères cyclistes lors de la "cohue du feu vert", bref, c'est Shanghai tout craché.